Un discours pas si facile à entendre et qui a suscité quelques débats parmi les créateurs du Tarmac. Pour autant, l’atelier Growth Hacking organisé par inovallée a permis de faire le point sur quelques notions clés du modèle start-up, comme la nécessité :
- d’attendre le stade d’activation où l’internaute commence à interagir avec le site pour générer de la croissance :
- d’analyser les datas : mesurer tout, tout le temps et de la même manière est la seule façon de vérifier ses hypothèses et de vérifier les facteurs de croissance réels.
- tester de nouvelles choses tout le temps, avec plus de créativité que d’intelligence, dixit Mathieu 🙂 faire preuve inventivité pour augmenter son taux de transformation de clic en commande est la condition sine qua non du growth hacking.
Mais surtout, l’atelier a été l’occasion de rappeler quelques fondamentaux du start-uper qu’on apprend pas sur les bancs de l’école en tout cas française (ou pas encore), comme la nécessité d’accepter l’échec (une start-up qui ne décolle pas dans sa première année n’est pas une start-up : soit c’est une PME qui a un bel avenir de PME, soit c’est un projet avorté et le créateur doit passer au prochain, là encore dixit Mathieu).
Et dans tous les cas, l’occasion pour les créateurs d’échanger, de penser différemment, de sortir des sentiers battus, et à défaut de trouver des réponses, de commencer à se poser des questions…
Pour en savoir plus sur le growth hacking :
http://www.influenceagents.com/matts-chat/growth-hack-b2b-service-business
http://growthhacking.fr/
http://toiledefond.net/quest-ce-growth-hacking/