Une mobilisation massive et joyeuse de l’intégralité du cabinet …
Prix spécial du jury l’an dernier pour l’engagement et l’énergie de ses supporters, qui tous les jours, chapeaux sur la tête et claps dans les mains, encourageaient leurs équipes au bord de terrains à grand renfort de chants et de rires, Ekosphère a cette année encore fait la preuve de l’incroyable émulation de ses collaborateurs pendant les Olympiades.
En effet, sur les 35 collaborateurs du cabinet, ils étaient 25 engagés dans les défis, dont les 3 associés dirigeants, et c’est quasi la totalité de l’effectif qu’on a pu une fois de plus retrouver sur le terrain pour supporter les participants dans une bonne humeur communicative à l’image de l’ambiance qui règne quotidiennement au travail. « D’ailleurs tout le monde aurait eu envie de participer », se réjouit Stéphanie Gaudimonte, associée du cabinet.
Et le « comité des fêtes », animé haut et fort par Benjamin, Arlène et Justine, joue un rôle clé dans cette émulation collective. « Ce comité est une initiative qu’ils portent avec le cœur et leur énergie contribue à fédérer l’ensemble des équipes. Les Olympiades suscitent une extraordinaire dynamique qui énergise tout le monde. Pendant toute la durée des défis, nous avons volontairement élargi les temps de pause et ça vaut le coup, car tous reviennent boostés au bureau après les challenges ! », souligne Stéphanie.
… reflet d’un bien-vivre et travailler ensemble savamment cultivé …
Et cette mobilisation massive et joyeuse ne doit rien au hasard. Elle n’est que le reflet d’un sens aigü du bien-être au travail qui se décline à tout endroit de l’entreprise.
En amont, Ekosphère travaille son image auprès des écoles, et notamment le lycée des eaux claires, l’IUT2 ou l’IAE, pour valoriser son métier auprès des jeunes en formation comptable.
Et le pari est réussi puisque le cabinet accueille chaque années 4 à 5 stagiaires, qui, séduits par l’ambiance, entrent en apprentissage, deviennent ambassadeurs auprès de leurs pairs et sont embauchés comme collaborateurs salariés à l’issue de leurs études. Les primes de cooptation les motivent à promouvoir le cabinet auprès des autres jeunes diplômés, permettant à Ekosphère de cultiver sa marque employeur par … la bonne vieille méthode du bouche à oreille, qui continue de faire ses preuves !
Une transformation simple et efficace qui repose aussi et surtout sur la qualité de l’onboarding. « Nous avons à cœur d’intégrer les jeunes dans les équipes quels que soient leur statut. Chaque nouvel arrivant dispose d’un livret d’accueil personnalisé et tous, quels que soient leur statut (stagiaire, apprenti, ou salarié), sont associés à tous les événements collectifs, dont les Olympiades. « C’est important pour nous de bien accueillir et intégrer les jeunes, même s’il ne s’agit que d’un stage de quelques semaines, car les stagiaires d’aujourd’hui sont les collaborateurs de demain », souligne Stéphanie Gaudimonte.
Et en aval, tout est mis en place pour que les équipes fonctionnent bien. Ainsi, les managers sont impliqués dans le recrutement de leurs équipes. « Il est important que les chefs de mission puissent choisir leurs collaborateurs, en fonction de leurs compétences bien sûr, mais aussi du feeling inter-personnel qui garantit le plaisir de travailler ensemble et donc l’efficacité de la collaboration », rappelle Stéphanie.
Sur cette base de bonnes relations inter-personnelles, sans laquelle rien n’est possible, de nombreuses initiatives sont mises en place pour cultiver l’esprit d’équipe. Ainsi, deux événements annuels regroupent les collaborateurs de tous les cabinets du réseau Ekosphère pour créer de la transversalité : une plénière en juillet, et un grand repas de fin d’année en décembre. Au sein du cabinet inovallien, d’autres événements fédérateurs ponctuent l’année pour souder les liens : soirée loto, engagement d’équipes dans des courses comme l’Ekiden ou le Grenoble-Vizille, cours de relaxation, soirées festives, spectacles …
Et cela fonctionne : au-delà de la bonne ambiance dont les Olympiades sont le reflet, la diversité est une réalité quotidienne : « nous avons autant d’hommes que de femmes, et ce sont 3 générations qui travaillent ensemble harmonieusement au sein du cabinet, avec des collaborateurs âgés de 21 à 62 ans », note Stéphanie.
… par le bon sens d’un management bienveillant !
Pourtant, rien n’a encore été formalisé au sein du cabinet, preuve que le bon-sens et le feeling restent la clé de voute d’un management bienveillant qui sait mettre naturellement en place les conditions de bien vivre et travailler ensemble …
Un management bienveillant qui sait aussi se remettre en question : « beaucoup de nos choix restent empiriques, nous avons évidemment des marges de progression. Mais cela montre que les « chefs » ne sont que des humains qui ont envie de progresser », conclut Stéphanie. Quel plus bel exemple pour les équipes ?