Sylvie Blanco l’avait annoncé en début de séance : « ces deux heures seront plus un moment de partage qu’une conférence ! ». C’est bien sous le signe du partage et de l’échange que s’est déroulée cette mini-conférence proposée par inovallée dans le cadre de son partenariat avec Grenoble École de Management : et si nous poussions les portes du management de l’innovation ?
Mardi 9 juin, plus une place n’était libre dans la salle de conférence d’inovallée : ce sont en effet plus de 50 personnes qui sont venues découvrir le travail de Sylvie Blanco. Enseignant-chercheur, mais aussi consultante, Sylvie Blanco le dit elle-même : son regard est façonné par son expérience sur le terrain. C’est sans doute la raison pour laquelle elle aime à questionner les participants sur leurs usages des technologies. Alors que le « smart » s’invite dans tous les domaines, que les technos investissent notre quotidien… Comment décrypter et surmonter le syndrome « Googlification » ? » Comment élever notre niveau de conscience de ce phénomène ?
Les entreprises à croissance exponentielle sont en train d’exploser, beaucoup plus que les entreprises déjà établies. Quel business model va finir par dominer ? À travers de nombreux exemples, Sylvie Blanco nous a emmenés faire un véritable voyage dans le temps et surtout dans l’avenir : souhaitons-nous vraiment vivre dans un quotidien dirigé par des objets connectés ? Se réveiller grâce à une lumière intelligente, enfiler son t-shirt intelligent, monter dans sa voiture autonome mutualisée pour se rendre dans son bâtiment design et à l’énergie positive… ? Est-ce véritablement notre rêve… ou un rêve insufflé par Google ?
Quelle que soit l’époque, il y aura toujours des créatifs pour bouleverser l’ordre établi et continuer d’innover. Même si c’est prenant. Et même si c’est fatigant. Et si les nouvelles générations n’étaient pas taillées comme nous ? Si elles étaient plus adaptables ? L’évolution des technologies est indéniable : mais quid de la valeur ? « Les valeurs sociales, sociétales, environnementales doivent être défendues à leur juste valeur« . Une façon d’influencer « les masses » positivement.
Créer la valeur, la capturer. Voilà qui n’est pas une mince affaire. Il s’agit pour les entreprises de trouver leur positionnement dans un réseau d’acteurs qui s’avère très complexe : ne pas se reposer sur ses lauriers, rester dans une dynamique parfois difficile à suivre, ne pas se tromper dans le choix de ses partenaires, sans oublier la remise en question de ses croyances. Avec une approche de manager, il est possible de créer de la valeur en substituant au produit brut la valeur « expérientielle » (amenée notamment par les « serious games ») ou sociale qu’il peut contenir.
« Pour voir grand, voir les systémiques, il faut comprendre la dynamique et les chemins pour y aller et chacun a son chemin. Le plus difficile ce n’est pas où on va, mais comment on y va… Évitons les comportements « killers » du type « je suis rigide, je refuse tout mode d’exploration d’un monde qui serait un petit peu différent de ce que je connais »… » conclut Sylvie Blanco.
Les entreprises à croissance exponentielle sont en train d’exploser, beaucoup plus que les entreprises déjà établies. Quel business model va finir par dominer ? À travers de nombreux exemples, Sylvie Blanco nous a emmenés faire un véritable voyage dans le temps et surtout dans l’avenir : souhaitons-nous vraiment vivre dans un quotidien dirigé par des objets connectés ? Se réveiller grâce à une lumière intelligente, enfiler son t-shirt intelligent, monter dans sa voiture autonome mutualisée pour se rendre dans son bâtiment design et à l’énergie positive… ? Est-ce véritablement notre rêve… ou un rêve insufflé par Google ?
Quelle que soit l’époque, il y aura toujours des créatifs pour bouleverser l’ordre établi et continuer d’innover. Même si c’est prenant. Et même si c’est fatigant. Et si les nouvelles générations n’étaient pas taillées comme nous ? Si elles étaient plus adaptables ? L’évolution des technologies est indéniable : mais quid de la valeur ? « Les valeurs sociales, sociétales, environnementales doivent être défendues à leur juste valeur« . Une façon d’influencer « les masses » positivement.
Créer la valeur, la capturer. Voilà qui n’est pas une mince affaire. Il s’agit pour les entreprises de trouver leur positionnement dans un réseau d’acteurs qui s’avère très complexe : ne pas se reposer sur ses lauriers, rester dans une dynamique parfois difficile à suivre, ne pas se tromper dans le choix de ses partenaires, sans oublier la remise en question de ses croyances. Avec une approche de manager, il est possible de créer de la valeur en substituant au produit brut la valeur « expérientielle » (amenée notamment par les « serious games ») ou sociale qu’il peut contenir.
« Pour voir grand, voir les systémiques, il faut comprendre la dynamique et les chemins pour y aller et chacun a son chemin. Le plus difficile ce n’est pas où on va, mais comment on y va… Évitons les comportements « killers » du type « je suis rigide, je refuse tout mode d’exploration d’un monde qui serait un petit peu différent de ce que je connais »… » conclut Sylvie Blanco.